Sparring partner : Nerlens Noel impressionne à l’entrainement, bientôt enfin en match ?

Le 02 avr. 2014 à 14:09 par Clément Hénot

Le calvaire des Sixers se termine dans huit matches, et la loterie devrait enfin apporter un peu de joie dans une si terne saison. Nerlens Noel, blessé au genou depuis l’an dernier (les tristement célèbres croisés), a du pleurer son basket en regardant les matches de ses coéquipiers. Probable que l’envie de jouer le chatouille bien comme il faut.

Le pivot à la coupe “flat-top” avait émis l’hypothèse d’un retour ce vendredi 4 avril face aux Celtics sur Twitter, mais selon le Philadelphia Inquirer’s, Noel ne devrait probablement pas revoir les parquets officiels cette saison, histoire de minimiser les risques de rechute.

Cela n’empêche pas le cousin éloigné de Dionte Christmas qui redouble d’efforts dans la salle d’entrainement des Sixers, de faire forte impression à son coach Brett Brown, qui ne tarit pas d’éloges à son sujet.

“La première chose que j’ai adoré chez ce joueur ? Son esprit de compétition, un véritable chien sommeille en lui, et une rage de vaincre que j’ai sous-estimé au début. Non vraiment, j’adore ce qu’il fait, c’est un féroce compétiteur et un monstre physique.”

Forcément, quand on sait que Brown doit coacher au quotidien des joueurs comme Arnett Moultrie, Hollis Thompson ou encore Henry Sims, on se dit que finalement, il doit pas être si mauvais que ça ce bon vieux Nerlens, et mieux vaut éviter de prendre des risques inutiles alors qu’ils ont déjà assuré leur place en PlayOffs… On déconne bien sur, hein.

Nul doute que Noel pourrait apporter de la défense, de la puissance physique dans la peinture ainsi que de la taille (2m13 avec sa coiffure, 2m01 le crâne rasé), et d’autres éléments qui ont fait défaut aux 76ers cette saison. Ses débuts sont attendus par Phila.

Noel pourrait bien faire partie des rares rayons de soleil dans cette triste saison dans la “City of brotherly love” avec l’émergence de Michael Carter-Williams, qui pourrait bien être sacré rookie de l’année, en plus des 26 défaites de suites qui vont leur assurer un top pick de cette grosse Draft 2014. Si en plus ils peuvent compter sur un Nerlens Noel toujours aussi physique et déterminé, l’avenir n’est peut être pas si sombre que cela.

source image : Sixers Debats Sports
source texte : Bleacher Report


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